Enquête auprès des investisseurs de la Génération D en Europe

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Les interactions en face à face et le partage des connaissances figurent en tête des souhaits des investisseurs

 

 

La semaine dernière, je vous en ai dit plus sur la génération D. Les membres de ce segment sont bien éduqués, informés sur le numérique et désireux d’approfondir leurs connaissances en matière d’investissement, vous pensez donc probablement qu’ils ne sont également intéressés que par une interaction virtuelle avec les conseillers, non ? Ce n’est pas le cas, selon les résultats de notre enquête auprès de 1 200 investisseurs de la génération D en Europe. 

 

Résultats de notre enquête auprès de 1 200 investisseurs de la génération D en Europe

 

Ne mettez pas encore au rebut les moyens de contact traditionnels

Les résultats de notre enquête indiquent des chiffres plutôt solides autour du contact des investisseurs de la Gen D avec les conseillers.

Près de 71 % des répondants préfèrent les interactions en face à face avec leur conseiller. Quelque 68 % préfèrent les conversations téléphoniques. Seuls 15 % utilisent des plateformes de médias sociaux, comme Facebook ou Twitter pour interagir avec un conseiller. Seulement 32 % des répondants croient qu’ils peuvent avoir une relation bénéfique avec leur conseiller si elle se déroule exclusivement en ligne, sans que les deux parties ne soient jamais présentes au même endroit, au même moment.

S’il est vrai que les investisseurs préfèrent des éléments d’une relation traditionnelle investisseur-conseiller, plus des trois quarts des personnes interrogées ont déclaré que la technologie numérique n’affecterait pas négativement la qualité globale de la relation. Les investisseurs estiment que les relations traditionnelles et numériques peuvent coexister.

 

La connaissance est un pouvoir

 

 

Notre enquête a également révélé que les investisseurs de toute l’Europe déclarent être moins informés sur les placements qu’ils ne le souhaiteraient. En fait, 68 % des répondants de la génération D ont déclaré être neutres ou manquer de connaissances en matière d’investissement. Ces résultats révèlent une opportunité pour les entreprises de se différencier grâce à des services à valeur ajoutée.

Considérez ceci :

Près de la moitié  (48 %) des personnes interrogées utilisent des outils numériques pour se renseigner davantage sur les placements. Les investisseurs avertis déclarent détenir un éventail plus large de produits d’investissement et de titres, quel que soit leur niveau de richesse. Les investisseurs avertis sont plus satisfaits de leurs conseillers et sont plus susceptibles de déclarer que leurs conseillers comprennent leurs besoins.

Ce qui est clair, c’est que les entreprises qui tirent parti des outils numériques qui ont un effet positif sur les investisseurs, tout en maintenant les aspects d’une relation traditionnelle entre l’investisseur et le conseiller, peuvent augmenter leur proposition de valeur. Alors, à quoi servent les outils numériques pour les investisseurs et sur quels outils les conseillers doivent-ils se concentrer ? 

 

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